Le texte en gras/italique correspont aux paroles de la chanson Toi que l'on a Brisé de Mannick
¤¤¤TOI QUE L’ON A BRISE¤¤¤Toi, que l'on a brisé, sur un lit de torturesIls ne t’ont pas épargnés !
Mon amour, ils n’ont pas eu piti !
Ils t’ont supplicié les enfoirés,
T’ont fait souffrir le martyr !
Toi dont le corps n'est plus qu'une immense blessureToi, allongé là. Toi mourrant, je crois !
Tu t’es débattu, tu n’as pas voulu.
Pas voulu qu’ils te prennent,
Pas voulu qu’ils te saignent.
Je veux être ton cri, je veux être ta voixJe veux être ton cri, je veux soulager de tes peines.
Je veux être ta voix où que ça me mène !
Je voudrais te soulager de tes souffrances,
Te sortir de cette démence !
Pour les gens qui chez nous, ne s'en souviennent pasIls ne se souviennent pas, les autres,
Des horreurs, des caprices, des notre !
Pour les gens qui chez nous ne s'en souviennent pas !Ils ne se souviennent pas de la torture des Mangemorts,
Ils ont tous oublié la menace, tous oublié Voldemort !
A quoi bon, c'est vrai, raconter encoreA quoi bon y penser ?
Ça ne changera absolument rien !
A quoi bon s’accabler,
Tant sont déjà mort, en vain !
Le génie qu'ils ont pour donner la mort ?Mieux vaut ne pas y penser,
Essayer d’oublier
Ce n’est pas très facile.
Mais ne te fais plus de bile.
A quoi bon, c'est vrai, réveiller l'horreurTu ne ressentiras bientôt plus la douleur,
Tu dormiras à jamais, mon cœur.
Tu voleras bientôt dans le ciel,
Tel un ange, blanches seront tes ailes.
D'un corps mutilé jusqu'au bout du cœur
Tu as souffert, tu as pleuré,
Je voudrais t’achever
Pour ne plus entendre ce bruit,
Pour ne plus entendre tes cris !
Si ce n'est pour que le monde entierOui, le monde entier, le monde sorcier,
Doit connaître, doit accepter
Toutes ces horreurs perpétuées.
Sache, enfin, ce qu'ils ont osé faireS’ils te voyaient petit ange,
S’ils te regardaient dans les yeux.
Si seulement ils voyaient cette image
De toi torturé par eux...
A tous ceux qui n'ont pas voulu taireS’ils savaient les raisons
Qui t’ont précipitées dans cette prison,
Peut être agiront-ils
Pour protéger d’autres êtres, comme toi, fragiles ?
Leur faim de liberté !Tu voulais juste être libre,
Ne pas entrer dans leurs rangs
Pouvoir trouver un équilibre
Entre ta vie d’adulte et celle d’enfant.
Entre ta vie de bon et de méchant.
Toi, que l'on a brisé, sur un lit de torturesTu es toujours allongé.
Tu n’as cessé de respirer.
Tu t’accroches à la vie
Alors que tout te fuit !
Toi dont le corps n'est plus qu'une immense blessureBlessé de partout, meurtris, déshonoré,
Tu ne cessé pourtant pas de vivre.
Mais la douleur est si vive, tu ne peux que pleurer,
Crier d’un ton haché, tu es si las de souffrir !
Je veux être ton cri, je veux être ta voixJe t’en pris cesse le combat,
Je ne veux pas le faire moi-même.
Je t’en pris cesse ta vie l !
Oublie que tu m’aimes !
Pour les gens qui chez nous, ne s'en souviennent pasFais comme tout ces gens,
Oublie le plus important
Oublie mon amour, sombre pour toujours !
Pour les gens qui chez nous ne s'en souviennent pas !A chacune de tes respirations,
Mon cœur se fend !
Je ne veux plus qu’ils te blessent.
Meurs bon sang !!
A quoi bon, c'est vrai, faire une chansonIl n’y a pas de quoi se venter
De la vie qu’ils vont t’enlever.
Il ne faudrait plus y penser
…ne plus penser….…plus respirer.
Sur les enfants morts, à coups de bâtonsTu n’est qu’un enfant…
…Drago !
Tu n’est qu’un enfant…
…le corps en lambeaux.
A quoi bon, c'est vrai, raconter commentTout ce que tu as fais de mal
C’est de diriger toi-même ta vie.
Tout ce que tu as fais de mal,
C’est de m’aimer mon chéri !
On les a tués devant leurs parents !Lucius lui-même t’as dénoncé.
Ton propre père !
Il a voulut se venger,
De sa propre chair.
Si ce n'est pour ne pas oublierJ’aimerai moi aussi oublier le plus important !
Qu’à cause d’un amour d’adolescent,
Tu paie mes erreurs et ton père
Fier de lui me maintient à terre !
Que la vie dans la main des barbaresIl veut me voir souffrir,
Pour cela il t’occire,
Je t’en pris pardonne moi,
Je ne le voulais pas !
N'est plus rien qu'un jouet dérisoireMais ils jouent avec nos vies !
Ils jouent avec nos sentiments.
Mais ton dernier souffle s’est enfui
Et je me retourne triomphant !
Qui saigne et qui se tait !Tes cris ont cessé, à jamais !
Ton cœur ne bat plus.
Moi je sais que je vais y passer
Mais rien n’importe plus !
Toi, que l'on a brisé, sur un lit de torturesTu t’es battu, à souffert, es mort,
Sur cette table aux chaînes dures,
Où m’installe cette belle raclure
Qui fut autrefois ton père !
Toi dont le corps n'est plus qu'une immense blessureTon corps gît à terre,
Mais ton esprit est intact.
Déjà je ferme mes paupières
C’est la fin du dernier acte !
Je veux être ton cri, je veux être ta voixJe veux être ton cri, un cri de joie
Lorsque l’on se retrouvera…dans l’au-del !
Je veux être ta voix, mon beau serpent
Qui me chuchoterait tendrement :
Pour les gens qui chez nous, ne s'en souviennent pas « L’histoire pour nous est finie,
En bas a vie se poursuit
Mais profitons mon amour,
D’être ensemble pour toujours… »
Pour les gens qui chez nous ne s'en souviennent pas !Et pour que de mon prénom je me souvienne
Encore et toujours plus,
En regardant au plus profond de mes prunelles,
Tu me diras : « Je t’aime Severus !»
FIN